Étiquettes
Alan Robock, arme de destruction massive, États-Unis, CIA, climat, EMPIRE, géoingénierie, gouvernance globale, Haarp, HAARP et la manipulation climatique, la CIA veut prendre le contrôle du (mauvais) temps, Le nouveau projet Manhattan, manipulation, manipulation climatique, Manipulation du climat, nouvel ordre mondial, nwo, totalitarisme, transformer la météo en arme, USA
La CIA veut prendre le contrôle du (mauvais) temps
Pourquoi envahir un pays quand on peut l’inonder ou l’assécher pour le ruiner ? Les États-Unis semblent vouloir faire du temps une arme de destruction massive.
S’il pleut tout le temps, c’est la faute des Russes, ou des Américains. Il suffisait d’y penser. Et si c’était vrai ? En matière d’arme de destruction massive, rien ne vaut une bonne vieille catastrophe naturelle… ou pas ! Pour les responsables du renseignement américain, les outils de manipulation du climat, justement imaginés pour combattre les méfaits du changement climatique, peuvent aussi être utilisés dans le but inverse : inonder, assécher, ruiner… Et ils savent très bien de quoi ils parlent. Aujourd’hui, la CIA enquête sur le sujet, et a bien du mal à le cacher. Mais sa préoccupation est claire : la question n’est pas de savoir si l’on peut contrôler les éléments, mais qui est en mesure de le faire, et surtout comment s’assurer que les États-Unis l’emportent ?
Un mystérieux coup de fil
C’est un professeur de la Rutgers University, dans le New Jersey, Alan Robock, qui a vendu la mèche, lors de la conférence annuelle de l’American Association for the Advancement of Science, rapporte le Daily Mail. « Des consultants travaillant pour la CIA m’ont appelé pour savoir si nous serions capables de savoir si quelqu’un d’autre contrôlait le climat mondial. Bien sûr, ils ont aussi demandé : Et si nous contrôlions le climat des autres, est-ce qu’ils le sauraient ? » Le chercheur leur a répondu que l’utilisation à grande échelle de techniques de géo-ingénierie ne pourrait être que détectée. Mais de telles interventions pourraient, une fois révélées, déboucher sur un nouveau conflit mondial. « Si un pays veut contrôler le climat, qu’un autre ne le veut pas, ou s’ils essayent d’abattre des avions… Les conséquences pourraient être terribles », a-t-il ainsi estimé.
Le nouveau projet Manhattan
En soi, l’idée de transformer la météo en arme n’est pas nouvelle. Déjà, en 1959, E. P. Jacobs imaginait dans un album de Blake & Mortimer, SOS météores, qu’un envahisseur manipulait le climat pour envahir l’Europe. Du côté de la CIA et de l’US Army : Alan Robock a rappelé deux précédents, tous deux non pas russes mais américains, d’utilisation du climat en tant qu’arme : lors de la guerre du Vietnam, les scientifiques américains ensemençaient les nuages pour que la pluie ralentisse l’avancée des troupes adverses. À Cuba, la CIA avait fait de même pour que la pluie ruine la récolte de canne à sucre, et donc l’économie de l’île. Depuis, le concept de bio-ingénierie a bien évolué : on parle même de réorienter les rayons du soleil vers tel ou tel point du globe via des miroirs placés en orbite. Le professeur Robock a aussi révélé un fait plus embarrassant : la CIA vient de financer un rapport consacré à la géo-ingénierie, publié la semaine dernière par l’Académie nationale des sciences américaine. Seul hic : elle ne voulait pas que cela se sache ! Mais dans la liste des « sponsors » de cette étude est justement mentionnée « la communauté de l’intelligence américaine ». « La CIA est un financeur majeur des rapports de l’Académie nationale, souligne le professeur Robock, et je m’inquiète de ce que cela implique en termes de contrôle. »
Le chercheur dit s’être senti effrayé après cet appel de la CIA : « J’ai appris beaucoup d’autres choses commises par la CIA au mépris des règles, et ce n’est pas comme cela que je voulais que l’on utilise mes impôts. » Selon lui, « de telles recherches devraient être ouvertes et internationales, afin qu’il ne soit pas question qu’elles soient utilisées à des fins hostiles. » Et si un nouveau projet Manhattan, cette fois météorologique et non nucléaire, existait bel et bien, la responsabilité des chercheurs dont les découvertes seraient ainsi utilisées serait tout aussi lourde que celle des concepteurs de la bombe atomique.
source: le point.fr
J’ai regardé les commentaires sur LE POINT – j’ai trouvé ça :
« Certain reprochent a d’autres d’avoir exterminées de vieilles tribus indiennes et leurs connaissances et savoirs au début de siècle dernier, c’est mesquin et cela n’a rien avoir. »
je crois que c’est signé Le vieux – !!!!! no comment
Au secours!
Est-ce vraiment écologique? Parce-que ce devrait être notre préoccupation essentielle :
« Les hommes continuent de s’armer. Ils n’ont aucun sens de la mesure, de l’exigence de vie future. C’est une course effrénée à l’armement et ce qui va avec : la destruction de la Planète par l’exploitation éhontée des matériaux de fabrication. L’armement est l’industrie la plus polluante qui soit par son effet à long terme sur les populations.
Il est scandaleux que, pour assoir leur leadership, on en vienne à une politique au jour le jour, uniquement basée sur la compétition en armement et non sur la vie de l’humanité, les perspectives de survie de la Terre incluant la mort du plus grand nombre d’hommes. Non, on persiste à se surarmer, à vendre des armes et à se préparer à la guerre « totale ».
Les hommes avaient les moyens de stopper cela, ils n’ont rien fait et la surenchère ira jusqu’au bout : un déferlement de feu, de violence pour ne rien gagner. » Clefsdufutur-15.04.2015-
on se surarme – non, « ils » nous surarment –
« les hommes avaient les moyens de stopper cela …………… » pas certain, il y a tant de choses à faire qui ont été mises sous le boisseau – ce n’est pas innocent – c’est machiavélique
C’est vrais, c’est très vrais. Mais quand on vois quelque chose qui ne va pas et qu’on ne cherche pas, que l’on n’en parle pas, que l’on ne trouve pas ça absolument insupportable, et bien, on verse dans la collaboration comme tout ceux qui ont passés des vacances sereines en aout 2014 loin de l’Ukraine et de Gazza. Je sais bien que dès fois on ne sais pas trop quoi faire à part suivre l’actualité pour ne pas être dupe, apporter sa contribution sur le web, tant que la majorité ne demande pas le changement. Si la moitié de la France avait manifesté en faveur de Gazza …