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article intéressant, sans partager forcément tous les propos, comme d’habitude…


 Vomi écôlôgiste chez Bourdin

Nicolas Hulot était invité de Bourdin ce matin pour nous vendre son blabla écologiste. (c’est pas encore en ligne, je vous laisse chercher)

C’était l’horreur…

Déjà, Bourdin qui fait le malin et essaie d’expliquer que le réchauffement climatique c’est la destruction de la couche d’ozone…    … Élite d’ignares… Ça me conforte dans l’idée que ces gens sont totalement incultes, et qu’ils ne sont là que parce qu’ils sont intégralement soumis à Babel. C’est tout ce qu’on leur demande…

Et là dessus, Hulot qui nous raconte n’importe quoi et pose bien tous les marqueurs de soumission à Babel…

  Progrès et modernité. Techno scientisme, Malthus c’est de la merde, la science va nous sauver,
  Le mot « bois » jamais prononcé,
  Les russes c’est des méchants,
  La démographie jamais évoquée,
  L’écologie, ça oblige à faire les États-Unis du monde,
  L’écologie, c’est pour lutter contre la précarité des pauvres. L’écologie, c’est le moyen d’avoir toujours plus de socialisme,
  Conclusion antiraciste qui va bien…

Et le pire, c’est qu’après tout ce blabla grotesque intégralement babelien, il déplore que l’écologie soit devenue l’apanage d’un camp politique, et pas le souci de tous…  

Le seul bon point, c’est quand il identifie la rénovation énergétique comme une priorité.

Mais tout le reste, en bref… DE – LA – MERDE !


Moi je vous dis comment on fait de l’écologie.

On se trouve un pavillon à la campagne, bien dimensionné (100m² pour 4 personnes), avec minimum 1000m² de terrain, à moins de 10km de son travail, des écoles et des magasins. On l’isole super bien. On achète deux vélos électriques en plus de la voiture. On installe une cheminée efficace. On se met une haie champêtre avec plein de petits fruitiers dedans. On fait un potager en bio sur 200m² minimum. On plante des fruitiers. On composte, on paille. On installe des nichoirs. On met un récupérateur d’eau. On cuisine. On bricole. On se coupe son bois. On consomme et on mange local. On a maximum deux paires de pompes en plus des bottes. Pour les plus motivés, poulailler, clapier, toilettes sèches et chauffe-eau solaire. On n’épargne pas dans le ponzi bancaire et de dette publique. Si les permis de chasse et de pêche n’étaient pas si chers, je dirais même chasse et pêche. Pour les beaux jours, on sort le barbecue, on apérote au bon vin, on s’installe une piscine auto-portante à 100€ et on invite les amis et la famille, plutôt que de partir à Bali. On s’enracine, on éteint la télé, on fait siennes les traditions de son terroir, on écoute les vieux. On se fait son réseau et on achète des bons produits directement chez le producteur. Et puis on est cohérent avec soi-même, et on est contre l’immigration et l’augmentation perpétuelle de la population par importation de miséreux assistés inassimilables.

  L’arnaque de l' »étalement urbain »

Tout d’abord, j’aimerais revenir sur l’impact de ce modèle en terme de perte de surfaces agricoles. Le mieux que l’on fasse en terme de culture de blé, c’est du 100 quintaux à l’hectare. Soit 1 kilo de blé au m². Aux cours mondiaux, en déduisant les frais (tracteurs, essence, produits chimiques…), ça fait au max 600€ par an de blé pour 2000m². Rien qu’avec le potager de 200m², on produit le double en légumes. Je parle même pas des fruitiers, des petits fruitiers, de l’éventuel poulailler, de la place que toute habitation prendrait de toutes façons, etc etc… Donc cet argument de l’empreinte agricole de l’étalement urbain est un faux argument.


Surtout que chaque année en France, la forêt (en grande partie même pas exploitée) qui occupe déjà un tiers du territoire, gagne du terrain. Si on manquait d
e terres, la forêt ne gagnerait pas.
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Cette histoire d’étalement urbain, c’est la grande arnaque des faux écologistes, pour trouver un moyen d’empêcher les gens de vivre dans la nature et les obliger à s’entasser dans des appartements en ville hors de prix.

Je pense que c’est devenu clair pour tout le monde que nos écologistes n’ont rien d’écologistes, et que ce sont juste des trotskystes qui ont trouvé ce moyen là pour revenir par la fenêtre. Et en parfaits démiurges totalitaires, ils veulent absolument entasser les gens dans les villes pour pouvoir les contrôler.

Et surtout, maintenir les gens en ville, c’est les maintenir dans le salariat forcé, l’aliénation, et donc comme seule possibilité de vie, la course à l’échalote aux salaires et à la consommation ponctionnables. Et pour justifier ça, les faux arguments écologistes, c’est parfait.

Sans terrain, en appartement, il est impossible de faire sécession de leur racket et de reprendre le contrôle sur nos vies. Et ils le savent très bien.

  Revivre bien

J’ai souvent également entendu, ou dit moi-même, qu’à l’époque de nos grands-parents, une famille avec 4 enfants pouvait vivre bien avec un seul salaire. Et qu’aujourd’hui, c’est devenu impossible pour le commun des mortels.

Et bien, à bien y réfléchir, je réponds que non.

Déjà, il faut bien intégrer qu’en terme de confort, à l’époque, ils vivaient beaucoup plus chichement. Et sans forcément en revenir à abandonner tout le confort gagné depuis, il est illusoire d’espérer refaire pareil en pensant continuer d’acheter une paire de pompes par semaine pour madame, rouler en cabriolet pour monsieur, et partir au ski en famille.

Prenez une ville comme Agen. On trouve à moins de 10 km de la ville des maisons dans leur jus, avec des grands terrains, pour 130 000€. C’est certes pas le confort moderne d’aujourd’hui, mais il y a le charme de la vieille pierre. C’est habitable en l’état, et on peut les retaper au fur et à mesure.

130 000€ aujourd’hui, ça se trouve. Entre un héritage, la revente d’un premier bien, de l’épargne perso, on peut arriver avec 60 000 sur la table.

Ça dépend du cas personnel de chacun. Mais c’est jouable. Peut-être qu’au début, pendant 10 ans, il faut deux temps pleins pour arriver à tout payer, et continuer d’avoir de la marge pour payer la rénovation. Ça dépend des salaires, du nombre d’enfants, de l’apport, du prix de ce qu’on a trouvé, etc etc…

Mais pour un couple motivé et qui se sort les doigts, c’est possible. Et à 40, 45 ans, on peut déjà passer à mi temps pour les deux, ou bien arrêter de bosser pour un des deux.

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En tous cas, si vous pouvez mettre 150 000€ cash sur la table (une fois revendu l’appart en ville), la question financière ne se pose même pas. Et si vous courrez partout toute la journée comme un hamster dans sa roue, c’est que vous le voulez bien…

Le blocage généralement, c’est d’arriver à retrouver un boulot. Surtout que les jobs à Paris n’existent généralement qu’à Paris. Maintenant, ayez à l’esprit que les gens travaillent en province, que les taux de chômage y sont même souvent plus faibles, et que pour quelqu’un de civilisé au cerveau bien fait, il y a aussi des bons jobs. A moins que vous teniez absolument à votre job d’urbain ultra spécialisé et sans intérêt dans un domaine totalement abscons…

Mais surtout, il faut être bien sûr de le vouloir. La vie à la campagne n’est pas du tout la même qu’en ville. Si vous ne vivez que pour sortir en ville, pour voir la dernière expo de l’artiste subventionné du moment, si vous voulez 3 boulangeries à moins de 500 mètres, si vous voulez de la foule, de l’agitation et de l’anonymat, etc etc, oubliez de suite. Idem si vous espérez trouver de l’écolo gôchiste autour de vous et si vous faites une attaque à chaque vision d’une affiche du FN, alors qu’à la campagne, vous ne trouverez surtout que des gens sur la ligne que j’ai décrite, si vous êtes une faignasse scotchée à son canapé, si vous n’envisagez même pas de sortir sous la pluie ou dans le froid, ou si vous n’êtes pas du genre à sympathiser avec vos voisins, oubliez… Pour tout le reste, la moindre ville de 20 000 habitants a désormais les mêmes magasins qui vendent les mêmes produits mondialisés que partout ailleurs.

source: aux infos du nain