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argument de l'empreinte agricole, écologie, écologistes, éducation, éveil, environnement, france, L'arnaque de "l'étalement urbain", l'étalement urbain, manipulation, nature, Nicolas Hulot, On peut revivre bien, respect de la nature, Société, un faux argument
Surtout que chaque année en France, la forêt (en grande partie même pas exploitée) qui occupe déjà un tiers du territoire, gagne du terrain. Si on manquait de terres, la forêt ne gagnerait pas.

Cette histoire d’étalement urbain, c’est la grande arnaque des faux écologistes, pour trouver un moyen d’empêcher les gens de vivre dans la nature et les obliger à s’entasser dans des appartements en ville hors de prix.
Je pense que c’est devenu clair pour tout le monde que nos écologistes n’ont rien d’écologistes, et que ce sont juste des trotskystes qui ont trouvé ce moyen là pour revenir par la fenêtre. Et en parfaits démiurges totalitaires, ils veulent absolument entasser les gens dans les villes pour pouvoir les contrôler.
Et surtout, maintenir les gens en ville, c’est les maintenir dans le salariat forcé, l’aliénation, et donc comme seule possibilité de vie, la course à l’échalote aux salaires et à la consommation ponctionnables. Et pour justifier ça, les faux arguments écologistes, c’est parfait.
Sans terrain, en appartement, il est impossible de faire sécession de leur racket et de reprendre le contrôle sur nos vies. Et ils le savent très bien.
Revivre bien
J’ai souvent également entendu, ou dit moi-même, qu’à l’époque de nos grands-parents, une famille avec 4 enfants pouvait vivre bien avec un seul salaire. Et qu’aujourd’hui, c’est devenu impossible pour le commun des mortels.
Et bien, à bien y réfléchir, je réponds que non.
Déjà, il faut bien intégrer qu’en terme de confort, à l’époque, ils vivaient beaucoup plus chichement. Et sans forcément en revenir à abandonner tout le confort gagné depuis, il est illusoire d’espérer refaire pareil en pensant continuer d’acheter une paire de pompes par semaine pour madame, rouler en cabriolet pour monsieur, et partir au ski en famille.
Prenez une ville comme Agen. On trouve à moins de 10 km de la ville des maisons dans leur jus, avec des grands terrains, pour 130 000€. C’est certes pas le confort moderne d’aujourd’hui, mais il y a le charme de la vieille pierre. C’est habitable en l’état, et on peut les retaper au fur et à mesure.
130 000€ aujourd’hui, ça se trouve. Entre un héritage, la revente d’un premier bien, de l’épargne perso, on peut arriver avec 60 000 sur la table.
Ça dépend du cas personnel de chacun. Mais c’est jouable. Peut-être qu’au début, pendant 10 ans, il faut deux temps pleins pour arriver à tout payer, et continuer d’avoir de la marge pour payer la rénovation. Ça dépend des salaires, du nombre d’enfants, de l’apport, du prix de ce qu’on a trouvé, etc etc…
Mais pour un couple motivé et qui se sort les doigts, c’est possible. Et à 40, 45 ans, on peut déjà passer à mi temps pour les deux, ou bien arrêter de bosser pour un des deux.

En tous cas, si vous pouvez mettre 150 000€ cash sur la table (une fois revendu l’appart en ville), la question financière ne se pose même pas. Et si vous courrez partout toute la journée comme un hamster dans sa roue, c’est que vous le voulez bien…
Le blocage généralement, c’est d’arriver à retrouver un boulot. Surtout que les jobs à Paris n’existent généralement qu’à Paris. Maintenant, ayez à l’esprit que les gens travaillent en province, que les taux de chômage y sont même souvent plus faibles, et que pour quelqu’un de civilisé au cerveau bien fait, il y a aussi des bons jobs. A moins que vous teniez absolument à votre job d’urbain ultra spécialisé et sans intérêt dans un domaine totalement abscons…
Mais surtout, il faut être bien sûr de le vouloir. La vie à la campagne n’est pas du tout la même qu’en ville. Si vous ne vivez que pour sortir en ville, pour voir la dernière expo de l’artiste subventionné du moment, si vous voulez 3 boulangeries à moins de 500 mètres, si vous voulez de la foule, de l’agitation et de l’anonymat, etc etc, oubliez de suite. Idem si vous espérez trouver de l’écolo gôchiste autour de vous et si vous faites une attaque à chaque vision d’une affiche du FN, alors qu’à la campagne, vous ne trouverez surtout que des gens sur la ligne que j’ai décrite, si vous êtes une faignasse scotchée à son canapé, si vous n’envisagez même pas de sortir sous la pluie ou dans le froid, ou si vous n’êtes pas du genre à sympathiser avec vos voisins, oubliez… Pour tout le reste, la moindre ville de 20 000 habitants a désormais les mêmes magasins qui vendent les mêmes produits mondialisés que partout ailleurs.
En parlant d’écologie, voici des nouvelles des p’tites bêtes…
http://www.romandie.com/news/Les-abeilles-savent-compter-et-reconnaitre-un-visage-humain_RP/576346.rom
Compter et reconnaitre un visage humain… Hum. Seraient-elles plus intelligentes que nos chères têtes blondes?
Sans rire, je crois que je ne vais pas tarder à sauter le pas et à me lancer dans l’apiculture. Peut-être l’an prochain…
J’avais déjà séléctionné l’article (pour mes parents), il y a 3/4 ans nous leur avons offert un stage d’apiculture, et depuis, ils y prennent tellement de plaisir qu’ils produisent une trentaine de kilos de miel avec 2 ruches, et s’en sortent (niveau pertes) bien étant dans une zone pavillonaire, sans champs autours. Sensibilisés au problême de la disparition des abeilles, les voilà devenus également activistes (ils gérent déjà une asso, faisant partie de la LPO, ligue de protection des oiseaux, sur la préservation d’une zone humide). Ils font également partie d’un asso d’apiculteurs qui gérent une maison de l’abeille, qui leur permet d’utiliser le gros matériel, en échange ils animent avec d’autres les week-end portes ouvertes, afin de sensibiliser les familles, sorties scolairess, assos etc. Je ne sais pas dans quelle région tu vis, eux sont en région parisienne, et seraient enchantés de partager leur savoir… Ou du moins des contacts, si tu n’est pas dans ce coin là. 😉
Merci pour la proposition. Je suis, comme mon pseudo l’indique, en Auvergne, dans le Puy de Dôme.
Je connais un apiculteur amateur, et pas très loin de cbez moi existe une coopérative qui regroupe quelques professionnels. J’ai encore plus de chance, puisque je connais un coin en altitude susceptible d’accueillir qqs ruches. Les agriculteurs du coin n’utilisent quasiment aucun pesticides, ils se contentent de ce que la terre leur donne et l’endroit n’étant pas très peuplé, elles seront à l’abri des imbéciles. De plus ce n’est pas la place qui manque…
Pourquoi tant de place me diras-tu?
C’est simple, étant situé en altitude (500 m minumum), la production est estampillée « Miel de montagne ». Imagine la taille des abeilles qui butinent des montagnes!!!
Mostrueuses… 😀
Cool, sinon je savais bien, que j’étais en train de dire une connerie, rapport au 63 😀
On avait déjà évoqué Alésia 😉
Alésia?
Connais pas!
😀
Ah j’oubliais, je compte m’y mettre aussi!