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Amedy Coulibaly apparaissait, de dos, sur la couverture du livre Reality-Taule.
Une guerre souterraine à l’origine des attentats de Paris ?
La fabrication d’une icône avec la participation de Jeanette Bougrab en 2009…
C’est le 12 janvier, soit seulement 5 jours après l’attentat contre Charlie Hebdo, que la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), sous la plume de ses représentants Jean-Marie Delarue, François Noël Buffet et Jean-Jacques Urvoas, s’est fendue d’un surprenant communiqué dénonçant une « manipulation » de la presse visant à les présenter comme responsables de l’abandon des écoutes des auteurs des massacres des 7 et 9 janvier.
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Amedy Coulibaly : fabrication d’une icône du milieu carcéral
De leur côté, les producteurs du film d’Envoyé Spécial, Omar Dawson et Karim Bellazaar, s’étaient ensuite lancés en 2010 dans un projet de prévention visant à sensibiliser les jeunes des quartiers populaires à la réalité de l’incarcération. Et curieusement, les images tournées par Coulibali servirent in fine à obtenir l’aide financière de l’Agence nationale pour la cohésion sociale, alors dirigée par Jeannette Bougrab !
Autrement dit, celle qui aujourd’hui est à l’origine d’une étrange polémique autour de sa relation avec Charb présidait à l’époque une agence de l’État qui avait fait d’Amedy Coulibaly une icône de la prévention en milieu carcéral, cette icône ayant précédemment conforté Jean-Marie Delarue dans ses projets pour les prisons françaises.
Lire l’intégralité de l’article sur attentatsdeparis.over-blog.com
Les terroristes de Charlie Hebdo ont changé de véhicule devant un local utilisé par l’armée israélienne
INFO PANAMZA. Lors de leur fuite, les auteurs de l’attentat du 7 janvier auraient volé une voiture devant un commerce lié au ministère israélien de la Défense. Révélations.
Le 31.01.2015 à 21h27
C’est l’une des séquences les plus mystérieuses de la journée du 7 janvier : que s’est-il exactement passé, autour de midi, dans la rue de Meaux?
Voici ce qu’en disait -le jour même- François Molins, procureur de la République de Paris et conférencier de la mouvance sioniste hexagonale :
Les mis en cause -au nombre de trois, selon le témoignage d’une personne avec laquelle ils allaient avoir un accident- poursuivaient leur route vers le nord de Paris et percutaient violemment un véhicule Volkswagen Touran, place du colonel Fabien, dans le XIXème arrondissement, blessant la conductrice.
Ils tentaient alors de poursuivre leur route mais devaient finalement abandonner précipitamment leur voiture au niveau de la rue de Meaux et braquer alors le conducteur d’un véhicule de marque Clio. Ils s’emparaient du véhicule et… prenaient la fuite avec celui-ci.
Dans la photographie ci-dessus, on peut discerner, face à la voiture, une boutique comportant une terrasse et un rideau métallique partiellement descendu. Il s’agit d’un restaurant-pâtisserie cacher dénommé Patistory et situé au 45, rue de Meaux.
La particularité du lieu? Patistory est l’un des sept « points de vente« -dans toute la France- à destination d’un gala annuel dédié à l’armée israélienne et organisé par l’association française Migdal.
En 2008, des membres du groupe France-Palestine Solidarité avaient d’ailleurs hué le service d’ordre du gala : la Ligue de défense juive.
Déclarée –le 16 janvier 2001– à la préfecture, Migdal aurait été fondée en 1984 selon son président David Bittan.
La double singularité de cette association extrémiste mais reconnue par l’État français : son ultra-sionisme accompagné de son corrolaire -un racisme antiarabe comme l’illustre leur dernier clip, mis en ligne l’été dernier.
Nulle surprise à ce que les responsables de Patistory puissent participer -avec Migdal- à l’organisation d’un gala de soutien à une armée d’occupation coupable de crimes de guerre. En août, le couple à la tête du restaurant –Martine Bismuth Bellaïche et Patrick Bellaïche– avaient été fortuitement sollicité par une journaliste américaine. Le thème de son papier publié par The Christian Science Monitor : l’attitude de la communauté juive française face aux derniers bombardements israéliens de Gaza.
Après avoir revendiqué leur participation aux manifestations pro-israéliennes, les Bellaïche ont ainsi confessé leur « espoir » de partir bientôt vivre « en Israël ».
Sept ans plus tôt, la caméra de la chaine NRJ12 avait capturé -par hasard- le couple en son lieu de travail : l’animateur Arthur était venu leur offrir des billets pour son spectacle.
Résumons : des djihadistes-terroristes-antisémites présumés (dont l’un des « trois » s’est évaporé durant la fuite) se dirigent vers un quartier où vit la plus importante communauté juive de France et décident alors d’y changer de véhicule « volé » devant un commerce cacher tenu par un couple ultra-sioniste collaborant avec le ministère israélien de la Défense.
Outre la version expéditive du procureur de la République (citée plus haut), nous disposons de six témoignages -plutôt confus ou approximatifs- pour tenter de recouper ce qui s’est passé.
1* Le premier est le seul à être nommément identifié. Le site de 20 Minutes a recueilli les propos de Cédric Le Béchec, agent immobilier censé être « sorti de rendez-vous au 45 rue de Meaux« . Heureuse coïncidence : l’adresse désigne un immeuble de six étages jouxtant le Patistory et dont la porte d’entrée se trouve face au point de chute des terroristes. Que nous raconte Cédric?
«Une voiture noire était arrêtée au milieu de la rue. Deux grands blacks habillés de façon militaire étaient sortis, dont un avec un lance-roquettes. Ils ont sorti un homme de la voiture qui était derrière. Et ils sont montés en disant « vous direz aux médias que c’est Al-Qaïda au Yémen »
Des « blacks »? Ce témoin, que Panamza a tenté de joindre -en vain-, est le seul à évoquer cet élément d’information. Précision: il ne peut pas avoir confondu la couleur de peau avec celle des combinaisons puisque d’autres témoins rapporteront que les fuyards ne portaient pas de cagoule.
2* L’Agence France-Presse a diffusé le témoignage d’un habitant anonyme sortant du café-bar Le Dauphin, situé à une dizaine de mètres. « Ce qui m’a marqué, c’est les chaussures d’armée. Les mecs ont sorti un vieux de sa voiture et sont repartis vers Porte de Pantin ».
…l…Article complet et source: PANAMZA
« Coïncidence » : le patron d’Hyper Cacher avait cédé son entreprise « un jour avant » la prise d’otages
INFO PANAMZA. Un quotidien américain rapporte incidemment un fait troublant : Michel Emsalem, président-fondateur et actionnaire unique du groupe Hyper Cacher, avait cédé sa participation la veille de l’attentat. Huit mois plus tôt, il avait également installé sa famille à New York pour la «sécuriser».
Le 30.01.2015 à 15h48
Étrange désinvolture de la presse traditionnelle de l’Hexagone : son magasin était au coeur de l’actualité nationale du 9 janvier mais aucun journaliste issu des grandes rédactions n’est allé s’enquérir de sa réaction face aux évènements du jour.
Son nom est Michel Emsalem.
Depuis trois semaines, un seul article de presse fait -brièvement- référence à lui : le 20 janvier, le site du Figaro a consacré un papier à la naturalisation de Lassana Bathily, « héros de l’Hyper Cacher ». Extrait :
Dans le public, un homme, discret, se dit «très fier d’être là».
Il s’agit de Michel Emsalem, le président du groupe Hyper Cacher qui confie au Figaro: «J’ai recruté Lassana. Un de ses cousins me l’avait recommandé. J’emploie beaucoup de Maliens dans mes magasins. Lassana est un garçon gentil, très disponible, avec un bon esprit».
Avant de conclure, solennel: «Chez nous, on dit: ‘Celui qui a la chance de sauver une vie, il sauve l’humanité’.»
Ce mardi 20 janvier, l’homme était également apparu dans un reportage réalisé par le site de la mairie de Paris. On l’aperçoit (à la 5ème seconde de la vidéo ci-dessous) en train de saluer le maire de New York venu se recueillir devant son magasin de Vincennes où s’est déroulé la prise d’otages, onze jours plus tôt.
{Les connaisseurs de la mouvance sioniste hexonale pourront également découvrir, à 0’20, la curieuse complicité souriante, en ces jours de deuil, de Patrick Klugman, adjoint au maire de Paris, et Gil Taïeb, vice-président du Crif}.
Créé en 1992, le groupe Hyper Cacher dispose d’un magasin à Vincennes depuis 2010. Fondateur et président du groupe ainsi que de ses filiales: Michel Edmond Mimoun Emsalem, né le 18 janvier 1965. Notons que l’homme est également à la tête de la société financière Emsalem, créee en 1982 et disposant d’un capital de 2,5 millions d’euros.
Le 21 janvier, au lendemain de la visite parisienne du maire de New York, un quotidien américain- le New York Post– a rapporté une information singulière : « Le PDG du magasin cacher a envoyé sa famille à New York en réaction à l’antisémitisme dans Paris ».
Les journalistes du tabloïd ont été visiblement les seuls à vouloir recueillir le témoignage de Michel Emsalem et de son épouse. Le patron d’Hyper Cacher affirme ainsi que ses filles, installées -avec leur mère- à New York depuis avril 2014- sont « beaucoup plus en sécurité ». L’homme -qui prétend songer à rejoindre bientôt sa famille- a déclaré également « avoir, par coïncidence, cédé sa participation dans Hyper Cacher un jour avant l’attaque« . Détail supplémentaire rapporté par le New York Post : il demeure néanmoins le PDG de l’enseigne commerciale.
Double précision : Hyper Cacher est une société d’actions simplifiées unipersonnelle. Hyper Cacher Vincennes est également possédée par le même actionnaire unique: Michel Emsalem.
Autre élement d’information à souligner : bien que -moyennement- rentable, Hyper Cacher était de plus en plus endettée ces dernières années. Pour cause : l’essor fulgurant de l’émigration des Français juifs en Israël, notamment en 2014, suscite inévitablement – à moyen terme- une baisse du chiffre d’affaires pour les commerces à destination de la communauté juive.
La prise d’otages du 9 janvier, accompagnée par l’encouragement de Netanyahou à partir s’installer en Israël, devrait accentuer cette tendance dans l’année à venir.
Synchronicité
Qu’est-ce qui explique la cession d’Hyper Cacher -un jour avant- par sa figure emblématique? Mystère.
Une seule chose est certaine : au printemps 2014, Michel Emsalem avait déjà estimé nécessaire d’entamer un virage personnel avant de le prolonger aujourd’hui par une mutation professionnelle. Au regard des pertes financières que devraient provoquer les prochains départs des Français juifs pour l’étranger, il était temps, in extremis, de tourner la page de l’enseigne Hyper Cacher.
Céder son entreprise après les évènements du 9 janvier eût été mal interprété.
source: PANAMZA
Prise d’otages à l’Hyper Cacher: Amedy Coulibaly aurait réussi à envoyer des images de la tuerie
C’est désormais la conviction des enquêteurs chargés d’établir d’éventuelles complicités dans les attaques perpétrées à Paris entre le 7 et le 9 janvier. Selon les informations de L’Express, Amedy Coulibaly aurait réussi à transmettre à un correspondant des images de la prise d’otages dans l’Hyper Cacher de Vincennes filmées avec une caméra Go pro, que le preneur d’otages avait fixée à son torse au moment de l’assaut final.
Les experts ont pu visionner cette vidéo, «une séquence d’une durée de sept minutes environ, selon une source proche de l’enquête», précise L’Express, qui «montre clairement trois des quatre assassinats commis par le djihadiste dès son irruption dans le magasin».
Connexion à un ordinateur de l’Hyper Cacher
Selon les enquêteurs le terroriste qui avait apporté son propre ordinateur avait l’intention de diffuser ses images mais n’y est pas parvenu en raison d’un problème de connexion informatique. Il aurait alors demandé l’aide un des otages pour tenter de se connecter à un ordinateur de la supérette et y aurait inséré même la carte mémoire de sa caméra
«Il y a de très fortes probabilités pour que cette vidéo ait été transmise à un correspondant et pas à un média traditionnel», a indiqué à L’Express un enquêteur. La crainte serait désormais de voir apparaître cette vidéo sur Internet, notamment sur des sites djihadistes dans la mouvance de d’EI dont s’est revendiqué Amedy Coulibaly.
source: 20minutes
Pingback: 2 February, 2015 11:57 | raimanet