La dictature qui s’est progressivement mise en place, depuis le mandat de Nicolas Sarkosy, en trahissant le vote des français au référendum européen (traité de Lisbonne , passé par voie parlementaire), en plombant le système des retraites avec l’accord du MEDEF etc…
La continuité, avec le gouvernement Hollande, qui ignorera les millions de personnes dans les rues lors du passage en force de la loi Taubira, ainsi que la réforme du CDI, ou encore la gestion de l’affaire Dieudonné, anti-démocratique par excellence, de Manuel Valls…
Je vous laisse intégrer les événements de ces derniers jours, dans ce tableau de plus en plus sombre… les politiques nous parlent de Patrioct Act, de délation, de guerre à l’Islam, selon les dires de Netanyahou, qui s’est invité à la marche parisienne, contre l’avis du Président…comme il s’invita, à l’anniversaire de la tuerie de Toulouse (affaire Merah), en transformant ces deux moments, en meetings pro-israëlien…
Du coup, en réponse Mimolette invita Mahmoud Abbas…piètre démonstration de force…(puisque c’est comme ça, j’invite Mahmoud!!) Wahou, BIBI à du méchamment flipper! Le menacer de faire venir son pantin… Il avait « prédit » que la France subirait des attentats, si elle reconnaissait l’état palestinien, il demandera par la suite aux Français s’ils comprennent mieux les Israëliens suite aux attentats…on se serait cru dans une scène du film « Le parrain » … Pour ceux qui auraient encore du mal à lire entre les lignes, le premier ministre Israëlien, nous a montré de nouveau, qui a le pouvoir en France, ce n’est certainement pas Mimolette…
Mensonges sur mensonges, les politiques, ne se préoccupent même plus de tenir un discours qui tienne la route, tant nos concitoyens lobotomisés à la « moraline », (sous-produit du politiquement correct), sont aveugles, devant des évidences qui pour d’autres crèvent les yeux, des voix se levant des quatre coins du monde.
Nous pouvons dire sans trop nous tromper, ou plutôt le répéter…nous sommes tous des palestiniens, qui vivons en territoire occupé…ne vous étonnez pas, si la France se transforme en Liban, ou en Bosnie…La stratégie de la tension, mise en place, ne s’arrêtera pas en si bon chemin.
Mon ennemi n’a pas de nom…blablabla…souvenez-vous…l’ennemi est nommé…aux peuples du monde, de se mobiliser contre les Banksters et leur projet de gouvernance globale.
Si certains ont encore des doutes, il serait bon de s’informer de ce qu’il se passe partout dans le monde…Les mêmes mesures sont prises, pour les mêmes raisons, dans quasiment tous les pays, à fortiori les pays de l’OTAN…
Une nouvelle étape dans cette guerre mondiale au terrorisme, initiée un certain 11 septembre 2001.
La pilule rouge
La raison du plus fort est toujours la meilleure
le 14 janvier, 2015 dans Asservissement moderne par Cédric Bernelas
D’ailleurs, il faut bien que cela arrive tôt ou tard, qu’on vous classe. » – Céline
C’est bien pratique cette morale à deux cases, ça évite de réfléchir et donc de débattre. C’est d’ailleurs ainsi qu’on instaure une dictature sans recourir à la violence. D’un coté le bien, toujours cautionné par les pouvoirs en place, et de l’autre le mal, ou l’équivalent de tout ce qui pourrait les remettre en question. Vous pouvez avancer les arguments les plus indéniables ou apportez les preuves les plus rationnelles, si vous n’êtes pas dans le bon camp, tout ce logos s’annule comme par enchantement…enchantement diktacratique.
Si, en revanche, vous vous contentez de clamer en terrain balisé les sornettes légitimées par l’oligarchie, nul besoin d’en apporter des justifications, vous êtes dans votre bon droit…celui garantissant le confort de votre servitude. N’a-t-on jamais entendu un perroquet s’exprimer autant qu’en cage ? Tout pouvoir cherche à perdurer. Pour assurer ses abus, il lui suffit d’aliéner ceux qui le subissent par une propagande adéquate, diluée autant dans les écoles que dans les médias. Un formatage en règle donc, où les plus obéissants sont récompensés par leur collaboration exemplaire.
Les insolents sont, quant à eux, jetés aux orties et, s’ils persévèrent dans leur effronterie, la loi sera là pour faire taire définitivement le mal qu’ils s’obstinent à véhiculer. Soit une jurisprudence bien huilée entravant tout dialogue et toute remise en cause jusqu’à condamner tous ceux capables de bouleverser radicalement la donne. La plupart d’entre nous se contentent d’écouter ce que disent nos maîtres sans même chercher à regarder ce qu’ils font. Saturées de discours philanthropiques, nos consciences corrompues se rassérènent et réprimandent le premier parasite venu, qui invite à remettre en question la matrice. Surfant sur nos émotions, nous nous gavons de réflexions twittées jusqu’à empêcher toute pensée d’évaluer, avec le recul nécessaire, la profondeur et la relativité des choses.
C’est ainsi que nous zappons la liberté quand elle se présente à nous… Vous aviez refusé de trinquer avec Colin Powell ? Les versions officielles du gouvernement comme des médias ne vous satisfont pas ? Vous voilà complotistes ! Vous lisez Cheikh Anta Diop ou Paul Rassinier ? Vous proposez un autre angle d’attaque de l’Histoire ? Vous mutez révisionnistes ! Vous préférez Robespierre à Danton, Makhno à Lénine, Chavez à Obama, Kadhafi à Ouattara, Poutine à Merkel, Soral à Botul ? Vous flirtez avec le fascisme ! Vous estimez bien plus la sagesse des ascètes, la foi des dévots et la misère des cancres que les névroses des décadents, les certitudes des branchouilles et l’arrogance des bobos ?
Vous devriez avoir honte ! Vous optez pour un
journalisme indépendant et vous vous méfiez d’une
presse sponsorisée ? Mauvaise pioche ! Peut-être, alors, aurait-il fallu que nous écoutions plus attentivement tous ces
artistes prêchant l’amour du prochain avec des mélodies charitables et démagogiques ? Ces bouffons savent si bien user de leurs charmes qu’ils ramèneraient même une majorité de sourds dans le droit chemin. On peut tout exprimer et, le plus néfaste des propos doit être combattu – et vaincu – par la
parole et non par un
refus de celle-ci, non par un
abus de pouvoir. Qu’a-t-on à craindre du pire des discours si ce n’est sa vérité ? S’il incite au
crime ou à la
haine, résistons par un
éloge raisonné de la justice, de la réconciliation et de la paix. En excluant ceux qui ne pensent ni ne s’expriment comme nous, nous devenons à notre tour les ennemis de toute véritable
démocratie, celle dont le nerf demeure dans la confrontation d’idées ou dans le débat libre de toutes contraintes et restrictions. Ceux qui refusent cette dialectique deviennent irrémédiablement les apôtres de la
diktacratie.
[Texte extrait du livre Démocratie radicale contre diktacratie]
Autre son de cloche dans la presse belge qui un fait constat de la situation nettement plus réaliste…
Attentats : Une autre victime que l’on cache pour ne pas faire diversion
Helric Fredou s’est donné la mort dans le commissariat avec son arme de service.
Jean-Pierre Chevènement avait dit : « Un ministre, ça ferme sa gueule, ou ça démissionne ». Aurait-il pu dire : « Un commissaire, ça ferme sa gueule, ou ça se suicide » ? Ce qui semble avoir été fait, dans le cas du commissaire Helric Fredou du SRPJ de Limoges, retrouvé mort le jour des tueries en France, le 7 janvier 2015. Version officielle : suicide avec son arme de service, confirmé par la hiérarchie. Un jeune commissaire de 45 ans, plein d’avenir et d’ambitions, que l’on charge de faire une enquête sur une des familles des victimes du journal Charlie Hebdo et qui, le même jour, avant même de remettre son rapport dont on ne saura jamais le contenu, se donne la mort après avoir tranquillement rejoint son bureau. Conclusion ? Rien.
Pourquoi chercher à embrouiller des choses pourtant simples, à savoir le meurtre de 12 journalistes (oubliez la jeune agent de police et tout le reste) par des djihadistes revenant du front qui ont eu la délicatesse de signer leur crime d’un retentissant « Allahou Akbar » saisi clair et net grâce au téléphone portable d’un des membres du journal placé sur le toit, à côté d’un autre collègue paré d’un gilet pare-balles ? Pourquoi un tel commissaire se suiciderait-il au tout début d’une enquête qui peut s’avérer être l’enquête du siècle ?
Il était dépressif, disent les uns. C’est curieux comme la psychiatrie est souvent invoquée quand on veut éviter de chercher des réponses. Une tendance toute étatsunienne qui, maintenant arrive chez nous.
C’est un moyen très commode pour écarter toute question mais, après tout, pourquoi pas ? Pour dire qu’il était dépressif, je présume que ceux de ses collègues qui l’affirment avaient connaissance d’un suivi médical ou quelque chose de ce genre, car ce n’est pas un peu de spleen de temps en temps qui fait un dépressif, sinon nous le serions presque tous. Mais alors, s’il était vraiment dépressif, comment sa hiérarchie peut-elle laisser un malade se balader avec son arme de service ?
Qu’un professeur ou un chauffeur de bus avec des troubles psychiatriques continuent à travailler, c’est déjà limite, mais ne pas obliger une personne armée à s’arrêter c’est faire courir aux citoyens qu’il est censé protéger des risques mortels.

Mais la dépression n’est qu’une hypothèse et, en tant que simple hypothèse, elle ne doit en aucun cas écarter les autres possibilités qui pourraient s’avérer plus crédibles et plus probables. Peut-être était-il lié, d’une manière ou d’une autre aux protagonistes des évènements du 7/1 ? Ou peut-être que, pour retrouver les assassins au plus vite, les pressions de la part de la hiérarchie étaient telles qu’il n’a pas pu les supporter.
C’est très peu probable, parce que son enquête ne portait que sur les victimes. Il est cependant une question que tous les lieutenants Colombo du monde se posent en cas de suicide, et que les médias ont appris à ne jamais poser, c’est celle-ci : est-ce vraiment un suicide ?
Et bien sûr, tout le monde se la pose. Si quelqu’un l’a aidé à appuyer son pistolet sur sa tempe, quelle pourrait en être la raison ? Aurait-il appris, lors de son enquête, quelque chose qu’il voulait divulguer et qui pouvait tout gâcher ? Lui mort, il n’y aurait plus de rapport.
Et il n’y a pas eu de rapport. Ses successeurs sauront qu’il y a des choses à garder pour soi. C’est tout de même le deuxième suicide parmi les chefs dans ce même commissariat en à peine un peu plus d’un an. S’il a été aidé au suicide, cela tendrait à prouver que, même au plus haut niveau, jusque peut-être au sommet de l’état, personne n’est au courant de ce qui se passe réellement.
La meilleure preuve en est que François Mitterrand semble n’avoir découvert certaines réalités que pendant sa présidence, avec sa fameuse remarque à la fin de son mandat sur la guerre menée par les Etats-Unis contre la France.
Une autre conclusion pourrait également être tirée de ce suicide, s’il s’avérait être faux.
Pour que l’on sache ce qui a été découvert et que des dispositions aient été si rapidement prises, c’est que la hiérarchie est infiltrée. L’on pourrait alors se demander si toutes les grandes administrations le sont.
Ce ne sont là que quelques-unes des questions que tout le monde se poserait dans des cas de suicide comme celui-ci, surtout si la victime n’avait aucune raison apparente de mettre fin à ses jours. Pourquoi les médias ne se les posent-ils pas ?
Le patrioct Act en 2 minutes:
source: France info
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A reblogué ceci sur raimanetet a ajouté:
une sacrée pilule ! peut être est elle « blanche » !!!